Test : Mass Effect
Xbox 360
 
 Editeur : Microsoft Games
Développeur : Bioware
Site officiel : masseffect.com
Vidéos : rubrique vidéos
Date de sortie : 23.11.2007
Achat : Amazon.fr, CeDe.ch
  
 

Langue : français
Joueur(s) hors ligne : 1
Xbox Live : non (téléchargements à venir)
Joueurs en ligne : -
Age recommandé : dès 18 ans

 


Dévoilé lors de l'X05, Mass Effect est le premier jeu d'une trilogie développée par les Canadiens de Bioware, à qui l'on doit plusieurs jeux de rôle de renom, dont Baldur's Gate I et II, NeverWinter Nights, Star Wars Kotor et Jade Empire. Ce nouveau RPG, qui s'est fait longuement attendre, se déroule dans un univers futuriste de Science-Fiction.

Suite à plusieurs découvertes dans notre système solaire de ruines et artefacts d'une ancienne race très avancée mais mystérieusement disparue, l'humanité a fait un important bond technologique permettant notamment de se déplacer dans la galaxie à des vitesses dépassant celle de la lumière. 2183, alors que les Humains tentent de se trouver une place au sein des différentes races extraterrestres, on nous propose de prendre en main la destinée du commandant Shepard. Un militaire de l'Alliance humaine et candidat potentiel pour devenir Spectre, une sorte d'agent spécial au service du conseil de la Citadelle, le centre économique, politique et culturel de la Voie Lactée. L'histoire débute à bord du Normandy, un vaisseau de l'Alliance qui se dirige vers la colonie d'Eden Prime, où une mystérieuse et très ancienne balise a été découverte.

L'univers futuriste créé par Bioware est vraiment admirable. Ce qui frappe très vite, c'est l'incroyable richesse et la cohérence de tout le background du jeu. Au fil des discussions, on en apprend plus sur les diverses races extra-terrestres rencontrées, leurs relations actuelles, sur les conflits passés, les enjeux politiques. Les curieux trouveront de nombreuses informations consultables dans le codex, une sorte d'encyclopédie très intéressante qui s'étoffe au fur et à mesure de nos discussions et découvertes dans le jeu. Ce codex présente notamment les races aliens actuelles et disparues, divers groupements et factions, les lieux importants, l'origine des pouvoirs biotiques, ou encore des explications sur de nombreuses nouvelles technologies utilisées dans le jeu. De quoi combler tout fan de Science-Fiction qui aime connaître tous les détails et s'immerger encore plus dans ce monde très riche.

Tout comme dans Oblivion de Bethesda, il est possible dans Mass Effect de personnaliser de façon importante son avatar. On choisit son prénom, son lieu de naissance et son passé (qui même s'ils paraissent insignifiants, ont tous deux une influence sur quelques dialogues et missions secondaires), son sexe, son apparence et sa classe. Concernant l'apparence, c'est au niveau du visage que cela se détermine avec la forme du nez, des yeux, du menton, des oreilles, avec les divers types de coupes de cheveux, de pilosité, cicatrices ou encore teints de peau. Bref, un système pratique et bien complet pour qui aime personnaliser son héros. Les plus impatients, ou les moins créatifs, peuvent toujours choisir les apparences proposées par défaut, que Shepard soit homme ou femme. Six classes de personnages sont disponibles : le soldat (spécialisé dans les combats, pouvant utiliser toutes les armes à feu et les armures les plus lourdes), l'ingénieur (expert en technologie, utilisant son Omnitool pour guérir ses alliés et affaiblir à distance l'ennemi en détruisant par exemple ses boucliers), l'adepte (spécialiste biotique capable d'agir sur les champs gravitationnels et notamment de projeter en l'air ses adversaires). Les trois classes restantes sont des mélanges des précédentes, soit sentinelle (adepte/ingénieur), porte-étendard (adepte/soldat) et franc-tireur (soldat/ingénieur).

Les classes sont variées et toutes intéressantes, chacune possédant ses avantages et faiblesses. Pour y remédier, deux compagnons nous accompagnent lors de l'aventure. Il est possible de les choisir et d'en changer à chaque sortie du vaisseau. Six compagnons disponibles, correspondants aux six classes évoquées ci-dessus, et qu'il est judicieux, si l'on cherche l'efficacité, de bien combiner pour que leurs forces additionnées à celles du héros soient équilibrées. Le système de progression se fait par niveaux, avec à chaque passage la possibilité d'attribuer quelques points dans les diverses compétences qui varient selon la classe choisie. Après un certain nombre de points investis dans une compétence, des capacités spéciales sont débloquées. La plupart s'utilisent en situation de combat, en maintenant le bouton RB enfoncé pour choisir celles à utiliser, que ce soient les nôtres ou celles des deux coéquipiers. A titre d'exemples, citons la capacité surpuissance, liée à la compétence fusils d'assaut et qui permet de tirer des rafales plus longues et plus précises, ou encore sabotage, lié au décryptage, qui neutralise les armes de l'ennemi. A noter que la gestion du passage de niveaux pour les coéquipiers, ainsi que l'utilisation de leurs pouvoirs en combat peut se faire de façon manuelle ou automatique.

Tout comme lors de l'exploration, les combats se déroulent avec une vue à la troisième personne. Un système de couverture est présent, comparable à ceux que l'on trouve notamment dans Ghost Recon Advanced Warfighter, sans être toutefois autant efficace. Quatre types d'armes sont utilisables : les pistolets, les fusils d'assaut, les fusils à pompe et les fusils de précision. Selon la situation, on peut changer son arme ou celle de ses deux coéquipiers de façon très simple à l'aide du bouton LB qui fait apparaître une roue de sélection, comparable à celle des pouvoirs évoquée plus haut (RB), et mettant ainsi l'action en pause. La taille du viseur dépend de nos compétences dans le type d'arme sélectionné. Plus le viseur est grand, moins la cible est facile à toucher. Pour le fusil de snipe, les personnages n'ayant aucune formation dans le domaine ne peuvent tout simplement pas utiliser le zoom de l'arme. Un système intelligent qui mélange le côté réflexes et précision de tir du joueur, aux aspects plus jeu de rôle, avec une influence certaine des compétences du personnage sur la précision de tir et les dégâts infligés. Le seul véritable reproche à formuler au niveau des combats est l'intelligence artificielle médiocre des alliés. Bien que des ordres puissent leur être donnés à l'aide de la croix directionnelle, leur placement s'avère souvent aléatoire. Les ordres ne sont que peu respectés par les alliés, qui utilisent fréquemment des points de couverture gênant notre positionnement, ou alors qui restent à découvert, s'exposant ainsi dangereusement aux tirs ennemis. Dommage. Malgré cela et la disparition, lors du développement du jeu, du placement des unités qui pouvait se faire en pause, les combats sont agréables, bien rythmés et tactiques. La combinaison de divers pouvoirs utilisés à la suite permet de varier les approches des affrontements. On peut ainsi utiliser le pouvoir biotique de lévitation pour mieux exposer une cible aux snipers, ou alors pour la lancer au loin avec le pouvoir de projection. Autre exemple, avec le pouvoir de singularité créant un vortex aspirant cibles et objets à proximité, qui, utilisé avec une grenade bien placée, peut s'avérer très efficace.

A côté de la quête principale qui nous occupe pendant une vingtaine d'heures environ, Mass Effect propose toute une série de missions secondaires, ajoutant facilement 20 à 40 heures de jeu à l'ensemble. Concernant la durée de vie, on note que la rejouabilité est importante et qu'il est même conseillé de refaire plusieurs fois l'aventure si l'on veut tout découvrir, notamment au niveau de la résolution des quêtes et des dialogues. La limite du niveau du personnage est fixée à 50 lors de la première partie, et peut atteindre 60 en reprenant son avatar lors d'une deuxième aventure, en corsant pourquoi pas le niveau de difficulté. Plusieurs succès à déverrouiller encouragent également à refaire plusieurs fois l'aventure. Ces succès sont bien pensés, et chose assez nouvelle, plusieurs d'entre eux donnent droit à un bonus directement dans le jeu (et parfois même pour les parties suivantes), comme par exemple le fait de devenir "riche" en économisant un million de crédits, qui débloque non seulement un succès, mais qui donne également accès à du nouveau matériel chez certains vendeurs.
Les missions secondaires peuvent se dérouler dans l'une des (un peu trop rares) grandes villes du jeu, ou alors dans l'espace lors de l'exploration. Via la carte de la galaxie présente dans notre vaisseau, on accède à une représentation de la Voie Lactée. Celle-ci comporte plusieurs secteurs explorables, dont le nombre augmente au cours du jeu. Chaque secteur présente entre un et cinq systèmes solaires que l'on peut visiter à l'aide du Normandy. Chacun de ces systèmes comporte ensuite plusieurs planètes, et parfois quelques lunes d'importance, un astéroïde, ou encore un vaisseau à la dérive. Tous ces lieux ne sont pas forcément visitables. En fait, seule une minorité le sont. Par système solaire, on compte habituellement une seule planète ou "objet" sur lequel on peut atterrir. Pour les astres restants, tous présentent une explication sur sa composition, son atmosphère et des anecdotes éventuelles. Une partie d'entre eux peuvent en outre être analysés afin de découvrir quelques objets ou gisements de métaux rares, utiles pour les missions secondaires de collecte. Si de prime abord, il peut paraître un peu frustrant de ne pas pouvoir atterrir sur tous les astres existants, cela s'explique parfois de manière scientifique (géante gazeuse, température extrême). Par ailleurs, le nombre total de lieux vraiment explorables dépasse quand même la trentaine, ce qui est déjà conséquent. En outre, les fiches techniques et la présentation visuelle très réussie de chaque planète diffèrent pour chacune d'entre elle, apportant souvent de la richesse et du contenu au background du jeu.
Une fois une planète explorable découverte, on peut choisir d'y atterrir avec le mako. Ce véhicule tout terrain permet à l'aide de ses six roues et de ses petits propulseurs de se déplacer sans encombre dans des reliefs très accidentés. Le contrôle du mako, un peu déroutant au début, s'avère agréable avec un peu de pratique. La mitrailleuse et le canon montés en tourelle et agrémentés d'un zoom permettent de faire le ménage si des créatures hostiles, ou une bande de pirates, sont rencontrés. Chaque planète dispose de quelques gisements de métaux à analyser, quelques satellites accidentés ou autres objets spéciaux à découvrir, procurant ainsi points d'expérience, argent ou objets d'équipement. En pénétrant dans un nouveau système, on reçoit souvent une communication de l'Alliance nous assignant une mission secondaire ayant généralement lieu à la surface d'une de ces planètes (base à nettoyer, disparition à élucider, enquête, etc.). Chaque planète propose un environnement et un relief uniques, avec pour certaines une atmosphère toxique obligeant le port d'un casque respiratoire, ou d'autres limitant même le temps de sortie extra-véhiculaire. Si l'exploration des mondes s'avère souvent intéressante, on regrette quand même que les lieux intérieurs (mines, bases pirate, vaisseaux abandonnés) présentent une architecture qui se répète très vite, mis à part quelques caisses placées différemment. Par ailleurs, si la réalisation de ces mondes s'avère souvent réussie, on n'atteint pas, et de loin, la même qualité ni la même richesse que pour les planètes liées à la quête principale. Certaines sont en effet un peu vides et pas toujours excitantes. Derniers regrets, un peu anecdotiques cette fois, on aurait aimé que la pesanteur varie vraiment d'une planète à l'autre et ait une influence sur le comportement du mako. Et concernant ce véhicule, il est un peu dommage de constater qu'il n'est pas améliorable, chose qui avait pourtant été prévue au départ (voir cette interview), et dont il reste une trace dans le jeu lors d'un dialogue sur Novéria.

Les dialogues, déjà un des points forts de Bioware dans Star Wars Kotor et Jade Empire, s'améliorent ici pour atteindre des sommets de perfection. Toutes les voix sont audibles, et chose nouvelle, c'est également le cas pour le héros, ou l'héroïne. Les choix de conversation sont présentés autour d'une roue de dialogue. Afin de gagner de la place et surtout permettre un enchaînement rapide des échanges verbaux, les choix de réponses sont résumés en deux ou trois mots et correspondent à une réponse audible souvent plus longue de Shepard. Les choix de dialogues du côté gauche permettent parfois de charmer ou d'intimider son interlocuteur, et généralement de poursuivre et approfondir la discussion, alors que ceux situés à droite la font avancer plus rapidement vers son terme. Sur le côté droit toujours, le choix du haut est habituellement conciliant, ou altruiste, celui du centre est neutre, et celui du bas plus expéditif et pragmatique. Exit donc les notions très manichéennes de bien ou de mal, le commandant Shepard oeuvre invariablement pour le bien de la galaxie, mais les moyens d'y parvenir peuvent être diplomatiques ou au contraire très agressives, ce qui donne lieu d'ailleurs à des réponses parfois bien drôles ou extrêmes. La présentation des dialogues se veut très cinématographique, avec des changements d'angle de vue bien maîtrisés, des animations faciales réalistes et des gros plans très réussis, donnant un aspect dynamique à l'ensemble. Cet aspect est renforcé encore par la possibilité de couper son interlocuteur d'une simple pressions de bouton, ou alors de préparer à l'avance sa réponse suivante avant la fin d'une réplique, afin de rendre les échanges plus fluides et naturels. Une très grande réussite.

La réalisation graphique est un autre aspect de qualité de ce jeu. La modélisation et l'animation des visages, que l'on peut admirer de près lors des dialogues, impressionnent. Les diverses races aliens sont sur l'ensemble très bien modélisées et très réussies, mention spéciale pour les Krogans et les Asari. Certaines sont un peu en retrait malgré tout, comme les Elcors, les Volus, ou encore quelques espèces animales rencontrées lors de l'exploration sur les planètes, et qui manquent un peu de détails et se ressemblent tous. Les environnements sont variés, et si certains paraissent un peu sobres, tous présentent une architecture originale et crédible. Certains lieux sont tout simplement magnifiques, à l'instar de quelques quartiers de la Citadelle, et de certaines planètes montrant des intempéries, des cieux magnifiques chargés de particules, de nuages ou de fumées, ou encore d'une pluie de météorites. Quelques défauts techniques sont cependant à relever. Comme dans d'autres jeux utilisant l'Unreal Engine 3, tels que Gears of War ou Bioshock, Mass Effect présente parfois quelques problèmes lors du chargement des textures. Celles-ci n'apparaissent en effet pas toujours directement, et l'on voit à la place pendant parfois trois ou quatre secondes un modèle avec une texture simplifiée à l'extrême. Cet aspect est surtout dérangeant lorsqu'il intervient au cours d'un dialogue, où l'on aperçoit en gros plan un visage presque complètement lisse et sans vie. Dérangeant, mais heureusement ce n'est pas très fréquent. On constate quelques chargements lorsque l'on se déplace à pied, mettant parfois le jeu en pause pendant quelques secondes. Sur l'ensemble cela reste tout de même tout à fait supportable, d'autant que les développeurs ont pensé à cacher certains chargements notamment lors des déplacements en ascenseur. S'ils sont souvent un peu longs, ils donnent lieu à quelques dialogues "spontanés" entre vos deux coéquipiers, ou permettent d'écouter les dernières actualités de la galaxie, souvent liées aux missions du Commandant Shepard. Plutôt sympa. Au vu du soucis de pop-up de textures évoqué ci-dessus, on se dit qu'on aurait préféré finalement des chargements parfois un poil plus longs, qui auraient peut-être permis d'éviter cela. Quelques petits ralentissements sont parfois visibles également, mais rien qui ne vienne entacher l'aventure. On s'étonne quand même de trouver ce genre de petits soucis techniques dans Mass Effect, alors que le jeu était en phase de finalisation et corrections de bugs depuis au moins six mois avant sa sortie. Dommage, même si l'ensemble reste au final de très grande qualité et très beau à voir.

Les musiques, signées Jack Wall et Sam Hulick, sont très réussies. Elles sont nombreuses, variées, parfois douces, parfois épiques et font penser à plusieurs films mythiques de Science-Fiction des années 80. Leur très grande qualité permet de nous immerger sans peine dans ce nouvel univers fascinant créé par Bioware. En raison du nombre important de dialogues parlés et du fait que les voix du héros sont présentes à double sur le disque (versions homme et femme), il n'a pas été possible d'intégrer plus d'un choix de langue audio sur le DVD. La version vendue dans nos contrées est donc intégralement en français, mais par chance le doublage s'avère de qualité. Et même si certaines voix sont un peu en retrait par rapport à leurs homologues en anglais (pas toujours facile d'égaler Seth Green incarnant Joker en VO, ou encore Keith David pour le capitaine Anderson), la plupart sont crédibles et très réussies à l'instar du héros dont le ton est souvent très bon, de certains Turiens dont le timbre est presque métallique ou encore du Krogan Wrex avec sa voix caverneuse. La seule chose qui étonne un peu est à relever au niveau de la traduction de certains termes, comme la race extra-terrestre Salarian en anglais qui devient en français Galarien.

Mass Effect est proposé en deux versions, une normale, et une collector limitée. Cette dernière, pour environ 5 € / 10 CHF supplémentaires, propose en sus du jeu et du manuel, un boîtier métallique bien rempli contenant un livret de 34 pages du Galactic Codex (dont certaines sont communes avec le codex du jeu), un artbook de 36 pages et un DVD bonus. Ce dernier est entièrement en HD, à lire donc sur sa console et non sur un lecteur DVD classique. On y trouve quatre documentaires intéressants d'une durée totale d'environ une heure, mais malheureusement en anglais sans sous-titres. Ces vidéos sont complétées par cinq trailers officiels et la pub TV, 18 images de joueur, quatre thèmes pour le dashboard, une galerie géante de plus de 600 images commentées de design, quelques vidéos et démos d'autres jeux Xbox 360, et enfin de 10 musiquées tirées de la BO de Mass Effect, mais qu'on ne peut hélas pas écouter sur un lecteur CD, ni extraire.

Mass Effect est un très grand RPG, un de ceux qui marquent les esprits à l'instar d'Oblivion ou de Kotor. Plusieurs défauts sont néanmoins présents, dont quelques soucis techniques, en particulier le pop-up de textures, une IA à la traîne pour les coéquipiers en combat, une gestion de l'inventaire un peu chaotique lorsque l'on possède beaucoup d'équipement, et un nombre d'emplacements de sauvegardes limité de façon incompréhensible à dix par personnage créé. Malgré cela, l'aventure s'avère très prenante, grâce à un univers cohérent, riche et très détaillé, un système de dialogues excellent et très abouti, des combats réussis doublés de pouvoirs intéressants à utiliser, des musiques et des graphismes excellents, une utilisation intelligente des succès, des personnages attachants, une rejouabilité importante et une histoire passionnante et très immersive. Un premier épisode particulièrement réussi donc pour cette nouvelle saga signée Bioware, et dont on espère voir très, très vite la suite sur nos Xbox 360.


Max73 - 29.11.2007

 

 
LES PLUS
LES MOINS
 
 

Univers riche et cohérent
Les dialogues
Graphismes
Bande Son
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Petits soucis techniques
IA à la traîne
Gestion de l'équipement
Que 10 sauvegardes
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Technique :
 
Graphismes :
Son :
Jouabilité :
Durée de vie :
 
Note : 9/10