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Ubi Soft - cuvée 2004-2005


Sommaire

Page 1
Introduction
Brothers in Arms
Ghost Recon 2
Prince of Persia 2

Playboy : the Mansion
Notorious : Die to Drive

Page 2
Rocky Legends
Splinter Cell 3
Rainbow Six : Black arrow
Far Cry Instincts
Conclusion


Introduction

Le 23 juin, Ubisoft Suisse a invité plusieurs membres de la presse helvétique par petits groupes dans un hôtel lausannois, afin de présenter leurs jeux à venir depuis ces prochains mois jusqu'au début 2005. Ayant fait le déplacement avec plaisir, nous vous livrons ici le descriptif "officiel" de ces titres, ainsi que nos premières impressions à chaud.


Brothers in Arms

- Description :

L’action débute le jour du débarquement Allié en Normandie. Le sergent Matt Baker et ses hommes, tous membres du 101ème escadron de parachutistes de l’armée américaine, sont largués au dessus des côtes françaises. A ce tournant de l’Histoire, le joueur (Baker) devra choisir entre le succès crucial de sa mission et la vie de ses hommes, de ses frères d’armes…
Brothers in Arms plongera littéralement le joueur au cœur des huit jours décisifs du débarquement en Normandie grâce à des graphismes, un contexte historique, un environnement sonore et un gameplay sans précédent.

- Premières impressions (par Max73) :

Brothers in Arms que nous avons pu voir tourner, est un jeu sur lequel Ubi Soft mise beaucoup. Une nouvelle licence, qui selon les résultats de vente du premier épisode, pourrait donner lieu à une ou plusieurs suites.
Après une belle cinématique bien immersive dans un avion de parachutage sous le feu ennemi, le jeu laisse entrevoir un grand potentiel graphique , puisque cette cinématique semble être réalisée avec le moteur de jeu. La mission dévoilée ensuite, se déroulait deux jours après le parachutage en Normandie, où les développeurs semblent avoir passé beaucoup de temps afin de rendre leur jeu fidèle tant au niveau historique qu'architectural. Deux escouades sont sous nos ordres. Les soldats sont modélisés avec justesse et chacun devrait avoir sa propre personnalité dans la version finale, qui devrait compter un "réservoir" de 20 hommes. Le jeu semble jusqu'ici être un mix entre Full Spectrum Warrior, pour le côté tactique et le déplacement avec un curseur des troupes, et d'un FPS de la veine des Medal of Honor, avec le réalisme des situations en plus. Une vue aérienne de la zone peut être affichée en tout temps, mettant ainsi le jeu en pause, et permettant de planifier mentalement les mouvements à venir. La coordination entre les deux équipes sera apparemment importante dans le jeu, pour une prise par les flancs, ou des tirs de suppression. La mission se déroulait à quelques kilomètres de Carentan, village que l'on peut apercevoir au loin, et qui doit rappeler des souvenirs aux amateurs de la série télévisée Frères d'Armes. L'objectif de la carte était d'encercler une ferme en éliminant l'opposition allemande. Les ennemis semblent bien réagir, et n'hésitent pas à se mettre à couvert au besoin. Le bruit des armes est bien rendu, les balles sifflent aux oreilles de façon réaliste. Après un nettoyage en règle à la grenade des quelques poches de résistance, la mitrailleuse fixe était accessible pour finir le nettoyage de la zone... jusqu'à l'arrivée de chars ennemis mettant fin prématurément à l'agréable démonstration.
Il se dégage de ce jeu une très bonne première impression. La réalisation technique, tant visuelle que sonore, semble être au rendez-vous. Et les amateurs de FPS, ainsi que les tacticiens en herbe devraient trouver leur compte dans ce jeu de Gearbox, prévu pour la fin 2004.


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Ghost Recon 2

- Description:

A la suite d’une des plus sévères famines ayant touché la Corée du Nord, un Général nord-coréen influence son gouvernement et détourne secrètement l’aide humanitaire pour alimenter sa propre armée et accroître son pouvoir personnel...
Ayant peur que la Corée du Nord ne renforce trop son arsenal militaire, la Chine stoppe sa vente d’armes vers ce pays. En représailles, le gouvernement Nord coréen scelle une alliance secrète avec la Russie, brisant l’alliance tacite sino-russe. Mais à la suite d’une nouvelle famine, une émeute éclate et l’ambitieux Général prend le contrôle total de l’armée. Accusant la Chine de la famine, il envahit le territoire chinois avec l'appui implicite de son nouvel allié russe.
La Chine réagit avec prudence, craignant un conflit ouvert avec la Russie et donc une escalade nucléaire. Officiellement, la Chine prend position pour une force multinationale qui surveillerait la frontière entre son pays et la Corée du Nord. Officieusement, les Ghosts et d’autres unités des forces spéciales entrent en Corée. Leur mission : éradiquer la menace nord-coréenne et destituer le Général mégalomane.

- Premières impressions (par Sam Fisher) :

D’abord, techniquement, le jeu a fait un sacré bond en avant. Les visages des personnages sont très détaillés, la forêt du début de niveau est riche et laisse filtrer les rayons du soleil à travers les branches, les animations des soldats sont bien moins rigides… Après avoir regardé un peu le décor, il faut avancer vers l’objectif, alors allons-y. la nouvelle vue, juste au-dessus de l’épaule, ne crée pas de changements énormes, on n'est pas trop dépaysé. Elle permet une meilleure vision des alentours et on voit enfin l’arme de notre personnage. Pour viser, je passe en vue à la première personne, vue dans laquelle je peux me déplacer aussi, mais très lentement (on ne sait pas encore si une "vraie" vue à la 1ère personne du type de Ghost Recon 1 sera jouable). J’avance en direction du champ de bataille, je commence à entendre les balles siffler… Avec le bouton Y et une direction sur la croix multidirectionnelle, je dis à mes coéquipiers d’avancer par la droite, jusqu’à des petits blocs qui feront une bonne protection. Mon bras se lève et leur montre la direction, pendant que je crie « Go! ». Je m’accroupis et les rejoins, en prenant soin de rester bien planqué, conscient du réalisme du jeu, intact malgré l’aspect « action » plus fort. Les douloureuses morts du soldat Euhics m’avaient pas mal refroidi… je m’appuie contre un de ces blocs et je commence l’élimination des ennemis. Je suis rassuré, la possibilité de se pencher un peu sur le côté avec la croix existe toujours, bien pratique. Trois ou quatre terroristes éliminés plus tard, je continue à avancer, toujours protégé par les nombreux débris sur le terrain. Un hélicoptère traverse le ciel (scène visiblement scriptée, espérons qu'elles ne soient pas trop nombreuses et surtout variées et crédibles) et il se met à nous canarder. Je change d’arme, avec un peu de difficulté puisque le changement d’arme se fait avec A puis une direction maintenant (ce qui est plus rapide que la croix, il faut l‘admettre), un peu comme dans Rainbow Six. J’épaule mon lance-roquette et transforme l’hélico en débris, de manière à admirer le moteur physique Havoc, qui envoie les morceaux de l’engin rebondir un peu partout, dans une jolie explosion. Une troupe de SAS vient prêter main forte à mon équipe, ils sont efficaces (mais pas contrôlables par le joueur, on ne leur donne même pas d'ordres apparemment). On les suit en éliminant prudemment quelques ennemis supplémentaires, puis on se retrouve à côté d’un très grand hangar (les décors sont de taille plus importante dans cet épisode, semble-t-il). Je remarque que je peux maintenant ramasser les armes des soldats ennemis morts. Mais les terroristes continuent à nous cannarder, je n'ai pas le temps de le faire. Des ennemis sont regroupés derrière une jeep. Ni une ni deux, je sors une grenade, que je lance pas si mal, assez proche des ennemis, mais encore trop proche de moi et de mes hommes. Le souffle de l’explosion nous élimine tous les quatre, mettant fin à ce petit périple…

je m’attendais à ce que le jeu soit moins réaliste et trop axé action, on dirait que ce n’est pas le cas. Une balle ou deux et vous êtes morts. Ce qui est un peu ennuyeux, c’est qu’il semblerait qu’on ne puisse plus contrôler les autres soldats du groupe. Quand le héros meurt, la partie est finie, comme dans Rainbow Six. Le gameplay se rapproche aussi de ce dernier par le fait qu’il n’y a plus qu’une seule équipe. Le jeu sera peut-être moins tactique alors, puisque on ne peut plus agir simultanément avec deux teams. Par contre, le contrôle de son soldat et de son groupe est très instinctif. C’est un mélange entre celui du premier volet, celui de Rainbow Six et quelques nouveautés.
L’aspect sonore est toujours très impressionnant, comme dans les précédents jeux de cette licence. Les balles sifflent, les explosions sont nombreuses et, petite nouveauté, les soldats sont moins « froids » qu’auparavant, ils crient souvent pour confirmer les ordres ou donner des infos.
L’IA des alliés a l’air efficace, ils ne se sont pas pris de balle perdues et se planquent efficacement et progressent avec prudence. Les ennemis se cachent et visent bien, mais je n’ai as eu le temps de voir s’ils élaboraient des tactiques plus complexes.
Le titre garde plusieurs de ces qualités, rajoute des innovations, se rapproche de Rainbow (cela peut être vu comme une qualité ou un défaut) et est beaucoup plus beau. Certains regretteront la direction un peu différente prise par le jeu, mais on salue tout de même l'envie d'innovation des concepteurs.
Bref, un titre qui m’a beaucoup plu. Espérons qu'il tienne ses promesses.


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Prince of Persia 2

- Description :

Traqué par un Dahaka, une incarnation invincible du Destin exerçant la vengeance divine, le Prince se lance dans une quête où combats et énigmes vont lui permettre d’échapper à une mort prochaine. Son périple le mène au coeur d’une île maudite, abritant les pires cauchemars de l’humanité.
C’est en résolvant des énigmes, en défiant de terribles dangers et en maîtrisant de nouvelles techniques de combat meurtrières que le Prince deviendra un guerrier redoutable et réussira l’épreuve absolue : sauver sa vie.

- Premières impressions (par Euhics) :

Nous avons pu assister à une présentation de Prince Of Persia 2, malheureusement il s’agissait d’une version PS2 et qui ne représentait bien entendu pas la même qualité que nous devrions avoir droit sur Xbox, mais force était de constater que même sur ce support le jeu s’en tirait vraiment bien, à part un frame-rate pas encore tout à fait au point mais qui a largement le temps d’être optimisé d’ici la sortie du jeu. La présentation à laquelle nous avons assisté montrait en première partie le héros sur un navire se faisant attaquer par des ennemis masqués. Le combat commence alors, le héros saute dans tous les coins tout en attaquant, il saute même tellement loin qu'il sort du bateau, heureusement pour se ratrapper sur le bord et revenir au combat. Il s'empare d'un ennemi et s'en sert de bouclier contre un autre adversaire lui lançant des projectiles, pour ensuite riposter dans une suite d'acrobaties fidèles au Prince de Perse. Première bonne nouvelle nous n’avons pas constaté durant la présentation de problèmes de caméra, ce qui était le gros défaut du premier épisode. Ensuite le héros se voit doté de nouveaux mouvements, comme la possibilité d’utiliser un corps ennemi à son avantage ou (selon la documentation que nous avons reçue avec la présentation) d’utiliser des éléments du décors lors du combat. Dans la deuxième partie de la présentation, nous nous sommes retrouvés dans une sorte de grotte dotée de grands décors plutôt bien détaillés. Plusieurs musiques évoquent fortement les mélodies très réussies du premier épisode. Mais les développeurs semblent avoir voulu cette fois rajouter un côté plus sombre, qui se traduit étonnamment par des guitares bien lourdes et des sonorités issues du hard-rock, ce qui va de pair avec l’assombrissement et le durcissement du héros.

Ce qui a fait le succès du précédent épisode devrait être conservé, entre autre la manipulation du temps ou les acrobaties. En plus de cela la durée de vie devrait être augmentée, l’ambiance générale se fait plus sombre et les combats, grâce aux nouvelles possibilités (utilisation des ennemis ou des décors à notre avantage) ainsi que l’amélioration de la caméra, devraient être plus intenses.


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Playboy - the Mansion

- Description :

Playboy : The Mansion mélange une simulation de gestion de vie sociale pointue et un jeu de construction d’empire. Incarnez Hugh Hefner, bâtissez la Playboy Mansion et gérez le magazine pour faire de Playboy une icône culturelle et une marque puissante. Côtoyez des femmes sublimes et de véritables célébrités pour devenir l’incarnation du mythique style de vie Playboy.

- Premières impressions (par Sam) :

Playboy : The Mansion, sous des airs de jeu racoleur (ce qu’il est quand même un peu), devrait être plus riche que l’on pourrait l’imaginer. Nous n’en avons eu qu’un très bref aperçu, mais on a pu voir défiler (entre deux playmates) quelques menus de gestion, liés au journal Playboy, que l’on devra diriger le plus efficacement possible. Vous aviez rêvé d’être dans la peau de Hugh Hefner? Vos rêves vont se réaliser. Rassurez-vous, vous ne serez pas le vieillard qu’il est de nos jours, mais un séduisant jeune homme qui se lance dans cette industrie si particulière… Des débuts du magazine (choix des filles, photographie…) à son summum de réussite, vous gérerez sa carrière, au milieu de sublimes créatures. On nous annonce que le joueur sera vraiment impliqué dans toutes les étapes de création, telles que la fabrication de la couverture des magazines (qui sont bien la seule chose couverte dans cette univers...). L’autre aspect du jeu, qui fait de ce titre un Sims-like, c’est la gestion de la « Mansion », symbole de l’empire Playboy. Tel un Sim, le Hugh prend du temps pour organiser son intérieur, de manière à rendre le lieu plus « convivial ». Jacuzzis, écran géant, tout est bon pour attirer dans la Mansion les personnes les plus en vues. En effet, même si nous n’avons pu en voir aucune dans cette présentation, on nous promet la présence de plusieurs célébrités, invitées dans le jeu et dans les fêtes que le joueur organisera. Ces dernières se dérouleront dans la Mansion et auront des thèmes précis. Les invités viendront (dés)habillés de la manière que vous déciderez s’ils veulent être de la fête. Tant qu’à faire, nous avons opté pour le thème « lingerie » lors de la présentation… Les invités, qui pourront être triés parmi une liste d’amis, iront alors braver le froid s’il le faut pour sonner à votre porte en petite tenue. Dans ce cas précis, les invités n’avaient pas été sélectionnés efficacement, d’où l’arrivée d’une petite dizaine d’hommes en caleçon avant celle de la première femme… Une fois que tout ce beau monde sera chez vous, vous établirez (notez le choix du verbe, préféré à « aurez »…) des relations avec vos invités, à la manière des Sims encore, pour améliorer votre réputation et votre cercle d'influence ou pour engager de nouvelles filles par exemple, le tout en bichonnant (cadeaux, etc.) vos nouveaux amis.
Techniquement, le jeu n’a rien d’exceptionnel mais se place tout de même quelques crans au-dessus des autres « simulateurs de vie ». Ne vous attendez pas pour autant à photographier des playmates aussi riches en polygones que les filles de Dead or Alive…
Le jeu était présenté sur PC, mais on peut supposer que le système du curseur sera conservé pour la Xbox, à moins qu’un système de raccourcis liés aux touches de la manette soit mis en place.
Ce jeu devrait plaire aux amateurs des Sims qui pourraient trouver ses derniers un peu trop sages et « politiquement corrects ». Le jeu ajoutera peut-être une nouvelle dimension au genre avec les tâches de gestion. On se demande tout de même s’il y aura des acheteurs motivés par cet aspect du jeu, alors que le titre offre surtout la possibilité de reluquer de jolies filles sous tous les coutures (s’il en reste).



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Notorious : die to Drive

- Description :

Enflammez le bitume dans l’une des courses les plus dangereuses, violentes et intenses jamais engagées à travers les rues de la ville ! En quête d’argent et de renommée, les joueurs ne pourront compter que sur leur habileté au volant et sur un arsenal digne des plus grands chefs de gangs. Un seul objectif : défier des bandes rivales sans foi ni loi lors de courses interdites, éliminer par tous les moyens ses adversaires et se construire un empire de luxe et de pouvoir. Des créatures plantureuses, des bijoux toujours plus classes, et un repaire de millionnaires, autant de récompenses qui attendent les quelques élus, survivants de ce jeu périlleux. Lorsque vous aurez goûté à la gloire, il n’y aura plus moyen de vous arrêter !

- Premières impressions (par Sam) :

Ce jeu nerveux et bourré d’action s’inspire beaucoup de l’univers du rap US: chanteurs bodybuildés, colliers et bagues en or, filles légèrement vêtues et, ce qui nous intéresse ici, grosses caisses. C’est important à préciser, car l’ambiance du titre pourra en repousser certains, peu inspirés par ce milieu. Comme tête d’affiche pour les rappeurs liés au jeu, on envisage DMX, chanteur à succès du moment. Que ceux qui ne sont pas des aficionados du rap se rassurent, le titre pourra tout de même leur plaire, notamment par sa relative simplicité et son action omniprésente. Là vous vous demandez à quoi le jeu ressemble, j’y viens.
Techniquement, rien de révolutionnaire. Le jeu sortira également sur Playstation 2 et c’est d’ailleurs sur cette machine que nous l’avons vu tourner. Ubi s’applique à sortir des versions adaptées à chaque machine, on peut donc imaginer que le jeu sera plus joli sur notre grosse boîte verte. Mais ce titre n’est pas celui qui sera le plus mis en avant (peut-être un peu plus aux States), donc pas de lifting complet au programme. Les circuits sur lesquels vous évoluerez ne sont pas très grands, histoire de ne pas créer de trop grands écarts entre les concurrents, pour garder toujours une chance de rattraper ou de faire exploser la voiture de l’adversaire. Malgré cela, les décors possédaient une assez bonne profondeur de champ. Mais de toute façon, vous n’aurez pas le temps de vous y attarder en jouant…
Le pilotage se fait aisément à l’aide de la gâchette et du stick gauche pour les directions. L’autre gâchette sert à tirer avec l’arme située dans les mains de votre compagnon, lui-même posté à l’arrière du bolide. La visée se fait avec le stick droit. Euhics (renommé pour l’occasion EX, cousin éloigné de DMX) s’y est fait très vite, le système semble donc bien pensé. Après quelques instants de courses effrénées, une barre de « spécial » se remplit. Une fois pleine, elle débloque une attaque plus puissante (ici une grosse sulfateuse). Peut-être le seul hic du gameplay, il faut appuyer sur une des touches de couleurs pour l’activer, ce qui n’est pas très aisé à faire alors que l’on utilise déjà les deux sticks. Problème qui pourrait bien être résolu en multijoueur, où on peut imaginer un système de jeu qui donnera le volant à un des joueurs et les armes à son partenaire. Le pilotage est très arcade et vous ne pourrez pas être beaucoup ralentis par le décor, la voiture se remettant en ligne dès qu’elle touche une maison par exemple, dans le but de conserver une bonne dose d’action.
Un jeu sûrement moins prometteur que d’autres grands titres du catalogue Ubisoft, mais qui est également plus simple (au risque d‘être un peu répétitif peut-être) et qui semble remplir son contrat, à savoir défouler le joueur.

- Site officiel : lien


Rédaction : Sam Fisher, Euhics, Max73, 29.06.2004

Remerciements : Ubisoft Suisse, Cédric Crausaz


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